Allée ces partis, je vais aussi vous comté la randonnée des chataignes qui à eu lieux à olargues le week end dernier
.
Nous voilà donc au vendredi aprèm-soir, pour le retrait des plaques, et retrouvailles avec les gars de la haut
oui du Poitou.
On s'attarde pas trop une fois les plaques récupéré, ca beau être le sud il y faisait pas bien chaud.
RDV pris pour le jour ultime, 4h45 place du village à Olargues pour le départ du Sunn épic enduro.
On ce retrouve comme prévu avant le départ, on essaye de roulez ensemble mais ces pas évident du tout.
Chacun monte à son rythme du coup, après 1 heure de monté me (nous) voilà au sommet du Naudech pour la spécial 1 .
Quelques minute de patience dans le froids, il fait que 2.5 degrés la haut et ces partis pour la spécial 1 mieillerie.
1 passage bien technique dans les cailloux du caroux, et quelques épingles qui arrivent vite, très vite parfois.
A la limite du tous droit, les sensations by night sont pas ouf mais je fais avec pas le choix.
Je fini la spécial en me disait, y'a un niveau de fou cette année, je me suis fait doubler par 5 6 mobilettes mais réussi à doubler un solex quand même.
Allez liaison 2 ca grimpe dur, faut pousser même a un moment. Sa blablate un peu avec 2 3 personnes du 34 avec qui je roule de temps en temps.
Direction crétouilles spé 2, go, il fait toujours nuit et les sensations sur le bike son toujours moyenne je gère la spéciale qui est pas très longues sans encombre.
Liaison vers spé 3, le jours ce lève, ce sera pas plus mal ainsi car je me voyait mal faire les écoliers (le bas surtout) dans le noir.
Après 1 nouvelle heures de monter me revoilà de nouveau au sommet du naudech.
Pour les écoliers XXL, un sacré morceau en tant habituel, l'orga a eu la bonne de nous rajouter les trotinettes avec ca petite dalles bien sympa histoire de pas arrivée frais dans les écoliers.
Du coup on je lâche les freins, il fait jour et là les sensations sont pas mauvaise sur le bike, je me fait enfin vraiment plaisir.
Je pensais y aller molo finalement je vais roulez comme un petit cochon.
La partie qui me faisait peur passe même sur le bike pour la première fois (les courses font poussées des ailes apparemment).
Du coup je termine la B1 en forme et serein pour la suite.
Retour au paddock, les lampes oust on va gagner un peu de poids, je mange un petit bout, veux faire le plein d'eau et quand je vois ce que j'ai bu, je me dis ces bon je suis large pour la boucle 2.
Du coup ces partie pour la B2
Faut remonter tous la haut par la même piste que pour la spé 1, ca ces moyen mais pas le choix.
1h de monté plus tard me revoilà la haut, il est déjà 10h pour vous donnez un petit timing.
Je pense allée faire mézeille mais a ma grande surprise ces les crêtes qui m'attende.
Y'a du beau monde au départ de la spécial, Damien Oton, Glenn Mac arthur, Alexis Chenevrier, mais qu'es que je fou ici moi
au milieu du gratin.
A ce moment là, je suis pas près du tous a y aller.
Je laisse partir les pros et part à mon rythme derrière pour pas les géner, le trouillomètre à 200% je me lance.
Les premiers mètres nickel, puis le fameux goulet arrive ..... vous voulez savoir .... vraiment ....., je poserais le pied, les pieds à terre ces vraiment chaud cette zone.
Ces pas le moment de joué au con et de ce blesser, ces ce que je me dit pour me rassurer la journée va être encore longues, après ca je gère le reste de la spécial et me fait bien plaisir.
Me voilà en bas de spanninga ou je retrouve Julien qui se rend compte qu'il a perdu ca puce, il est blasé.
Ces partie pour un petit poussage portage de 20 minutes pour retourner a la piste.
Julien à le moral dans les chaussettes, il appel les orga pour dire qu'il a perdu ca puce dans les crètes.
On lui dit, fait ce que tu peux pour la récupérer, la liaison passe juste a coté de la descente, du coup il se fera un petit trail pendant l'épic pour retrouver sa puce en esquivant les mec qui descende.
Je fini donc la monté pour enfin aller cherchez mézeille spé 5, toujours du beau monde au départ que je laisse partir une nouvelle fois.
Je croise Aymeric au début de la spé qui me dit, tu a l'air frais ca va le faire, on est à mis course en gros 50km et déjà 2500m de D+ de fait.
Du coup je me lance, je passe le haut de la spé sans encombre, la partie la plus dur puis trace ma route, je suis super bien sur le bike.
Surement de trop puisque je crève en fin de spécial
, je la fini quand même avec la big mousse ca passe presque crème.
Une mèche dans le pneu, je regonfle et repart, 300 mètres plus loin encore à plat, j'essaye de démonter le pneus mais impossible avec la mousse grrrr......
Regonfle encore une fois et rebelote, à ce moment le moral en prends un coup et me dis je suis dans la muise totale.
Mon pneu perd de l'air pile au niveau de la jante et de la tringles du pneus.
Y'a un long poussage du coup je l'attaque à pied, je verrais ca la haut une fois la piste rejoint.
Je mange un bout et tente une nouvelle fois de gonfler et par magie ca à l'air de tenir.
Du coup ca me rebooste un peu, il faut bien de temps en temps
J'arrive enfin a la spé 6 les chasseurs ou je retrouve flo un pote du 66.
Je veux boire et la ces le drame je suis à sec plus de flotte dans la poche à eau
histoire de se rajouter une petite difficulté. (note pour édition suivante toujours refaire le plein)
Je met un coup de pompe pour assurée la descente et feu il prend ma roue. Arrivée en bas sans grande surprise je suis encore à plat
.
Je vais faire la liaisons 7 en regonflant mon pneus toutes les 5 10 minutes, je perds un temps de fou et commence à douter et penser abandon.
Flo reste avec moi merci mec, on arrive enfin au départ de la spé 7 la mienne.
Flo faisait l'épic en équipe je lui dis, on ce fait la descente et dès que tu arrives tu files ta puces à ton collègue et tu me rejoint au camion, pour m'aider à réparer.
Déjà 70km de fait un bon 3300 de D+
Ces ce qu'il fera, je lui dis en gros dans 20 minutes faut que je reparte sur la boucle 3 sinon je suis cuit pour les barrière horaires.
Du coup je mange, me réhydrate, change de tenu, je suis moyen motivé pour repartir, mais flo avec l'aide de Julien qui a abandonner réussisse et changer mon pneus avec cette fichu mousse
Du coup plus le choix, après ce qu'ils ont fait pour moi je peux pas leur dire que je repars pas.
Donc en voiture Simone, euh a bicyclette Sylvain plutôt, ces partis pour la B3, j'y vais pour eux avec tous juste 25 minutes d'avance sur la barrière horaire en gros il est 14h45
La y'a gros morceau a monter, 960m de D+ sur 15km, outchhhhhh ca va laisser des traces
Direction Saint martin du froid point culminant de cette épic avec ses 1034m d'altitude.
Ca commence à monter doucement par la route, je pars confiant, flo ma dis je tes mis de la pressions pour avoir plus de rendement.
Je pédale a un bon rythme, rattrape du monde du coup je me refait, puis viens le gros morceau de la monter dans de bon pourcentage.
Beaucoup de monde pousse le bike moi y compris, j'essaye de pédaler quand ces plus plat mes les crampes ce font sentir, le doute ce réinstalle en moi.
Puis alex qui passe sur le bike comme un extra terrestre, tous le monde marche sauf lui
costaud le gars.
Je continue dans mon calvaire, entre poussage et crampe, j'essaye de m'hydrater régulièrement de manger, mais rien y fait ca persiste. il me faudra plus de 2h40 pour monter la haut.
J'arrive enfin en haut de saint martin du froid, à 17h25 la dernière porte horaire est en bas à 18h.
Etant pas en grande forme avec ces crampes je décide de me lancer dans la descente de saint martin du froid spé 8 pas trop m'attarder la haut, y'a un bon bloc à descendre encore.
J'essaye de relancer et sent les crampes qui sont pas loin, du coup je me laisse couler jusqu'en bas.
Me fait même doubler par une femme..... non mé oh tu va ou toi ... oups ce n'es que Alex Marchal.
Allez y madame
Enfin me laisse couler ces un bien grand mot, ceux qui ont fait martin save ce qu'il en est, tu as l'impression de descendre avec un marteau piqueur accrocher au bike.
Me voilà enfin en bas, il est 17h40 avec 20 minutes d'avance sur la barrière horaire de 18h00 maintenant j'irais au bout quoi qu'il arrive.
Petite liaison vers la dernière spé 9 bardou, je me surprendrais à pédaler jusqu'au dernier petit poussage sans avoir de crampes.
Comme à saint martin je m'attarderais pas, j'en peux plus, qu'une chose en tête en finir à tous pris et boire une bonne bière avec les gars.
Du coup je me lance, ca tape un peu moins que saint martin quand même, y'a plus de terre mais ca secoue encore bien, j'arrive à reprendre 2 3 gars, il doive etre vraiment mal quand je vois dans l'état que je suis, puis arrive enfin en bas de cette dernière descente.
Plus que 4 ou 5 km de voie verte pour rejoindre Olargue et la gars.
Je fini 68 ème /88 de ma catégorie et 89ème/130 finishers au général
Une dernière descente de bière
un burger, une douche et fin de chantier, je suis totalement cramé.
Désoler pour la longueur du pavé, pour les fautes d'orthographes conjugaison ou grammaire.